MARIE GEVERS

Marie Gevers est née le 30 décembre à Edegem.
Sa jeunesse (éducation et enseignement) se déroule à Missembourg, une ancienne ferme de maître dans son village natal, où elle passe le reste de sa vie et où elle écrit toute son œuvre. Seuls les cours de catéchisme sont suivis à l’extérieur. Sa mère surtout prend soin de son éducation qui est donnée en français à l’instar de la plupart des familles flamandes aisées de l’époque. Le dialecte flamand est uniquement employé avec le personnel de maison et les habitants du village. Plus tard elle se liera d’amitié avec de nombreux écrivains flamands et néerlandais tels que Félix Timmermans et Marie Gijsen dont elle traduira les livres en français.
Marie Gevers débute sa carrière littéraire en 1907, sous l’influence de son mentor, le poète Emile Verhaeren en publiant quelques poèmes dans le Mercure de France et son premier recueil de poèmes «Missembourg» paraît en 1917. Mais le vrai succès ne vient qu’en 1931, avec son premier roman «La Comtesse des digues». A partir de ce moment, elle se consacre résolument à la prose. Suivent alors une série de romans ayant pour thème principal la région de l’Escaut, avec «Madame Orpha ou la Sérénade de Mai » en 1933, et la Campine anversoise, avec «Paix sur les Champs» en 1938. Elle acquiert une renommée internationale. Ses livres sont traduits dans diverses langues européennes (néerlandais, allemand, suédois, roumain, etc.).
Marie Gevers décède le 9 mars 1975 à Missembourg.
(Texte basé sur «Een leven en een œuvre op Missemboug» de paul Servaes).

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